mardi 22 mars 2011

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne

Pétition sur "Comité d'Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane" : Site de pétitions en ligne

Oui beaucoup de personnes sont allées signer (545 signatues aujourd'hui) mais cela ne suffit pas

Il nous faut sensibiliser autour de nous pour que nous soyons entendus. Merci pour toutes les personnes qui ont déjà signé mais faites passer le message

Car il ne faut pas oublier ce qui s'est passé lors des années noires et rendre hommage à tous ceux qui ont péri dans ces camsp de la mort

vendredi 11 mars 2011

Courriel que nous venons d'envoyer à Monsieur GUEANT




Monsieur le Ministre,
Suite à notre entrevue à l’Elysée du 20/12/2007, nous recevions un courrier de votre part le 27/12/2007 dans lequel, et je vous cite « je tiens à vous confirmer que ce fait historique n’est en rien contesté … »
Depuis nous avons fait maints courriers et interventions concernant la reconnaissance génocide tzigane.
Le 24/O2/2011 nous avons créé un Comité d’Action pour la Reconnaissance du Génocide Tzigane et nous avons lancé une pétition en ligne sur « mesopinions.com » En ce jour 11/02/2011 à 15 h 00 nous avons 417 signatures.
Je me permets de vous rappeler que des propositions de loi dans ce sens dorment dans les niches de l’Assemblée et du Sénat.
Nous souhaiterions qu’elles soient mises en débat pour aboutir à une reconnaissance effective.
Recevez Monsieur le Ministre notre plus profond respect.

vendredi 4 mars 2011

Photos des années 1938 à 1946

Les persécutions des Tsiganes (document remis à la presse)

La persécution des Tsiganes, longue de plusieurs siècles, a connu son paroxysme pendant la seconde guerre mondiale.

Qualifiés de "problème", considérés comme " asociaux" et "racialement inférieurs", les Tsiganes sont arrêtés et assassinés dans le Reich allemand et les territoires occupés.

1899-1933: les bases idéologiques

1899 Bureau Central pour lutter contre les nuisances des Tziganes en Bavière.

1922 Fichage systématique (photographies, empreintes...), carte obligatoire dès 1927.

1929 Bureau Central de Lutte contre les Tziganes à Munich.

1933-1945 : Baro Porajmos, "le grand engloutissement"

1933 Le gouvernement du Chancelier Hitler met en place sa politique eugéniste à l’encontre des malades mentaux et des asociaux, auxquels sont assimilés les Tsiganes. Il instaure la stérilisation forcée "eugénique", puis interdit les mariages "mixtes".

1935 Les lois de Nuremberg classent les "Tsiganes" comme " racialement inférieurs".

1936 Peu avant l’ouverture des Jeux olympiques de Berlin, la police ordonne l’arrestation de tous les Tsiganes de la capitale et de ses environs et leur relogement par la force à Marzahn, sur un terrain vague situé dans un quartier à l’est de Berlin, près d’une décharge publique.

1938 12-16 juin : "Semaine du déguerpissement tsigane". Des centaines de Rrom sont arrêtés, battus et incarcérés en Allemagne et en Autriche. Un millier sont déportés dans les camps de concentration de Mauthausen, Ravensbrück, Dachau et Buchenwald.

1940 Bien que le régime nazi donne la priorité aux déportations de juifs, plusieurs milliers de Tsiganes sont déplacés vers la Pologne, en particulier dans le ghetto de Lodz.

1942 déc. : « Décret d’Auschwitz»: Heinrich Himmler ordonne que tous les tsiganes vivant encore sur le territoire du Reich soient déportés à Auschwitz, où un camp a été conçu spécialement pour eux : "le camp des familles tziganes". Des familles entières y sont incarcérées ensemble. Les jumeaux et les nains, sont cependant séparés des autres et soumis aux expériences médicales pseudo-scientifiques menées par le capitaine SS, le docteur Josef Mengele. Des médecins nazis utilisent également des prisonniers tsiganes dans des expériences médicales dans les camps de Ravensbrück, du Natzweiller-Struthof et de Sachsenhausen.

1944 1er août : les Tsiganes restants dans le camp d'Auschwitz, près de 3 000, sont exterminés.
Au moins 19 000 sur les 23 000 Tsiganes déportés à Auschwitz y périrent.

De 1945 à nos jours des discriminations toujours vivaces

1945 On ne connaît pas exactement le nombre de Tsiganes tués au cours ces années noires. Bien que des chiffres exacts ou des pourcentages ne puissent pas être vérifiés, les historiens estiment que les Allemands et leurs alliés auraient exterminé de 25 à 50% de tous les Tsiganes européens.

20 novembre 1945 Ouverture du procès de Nuremberg où aucun tzigane ne sera appelé à témoigner.

1946 Libérations des derniers tziganes des camps soit 1 an après la fin de la guerre

1969 Remplacements du livret anthropométrique par le livret de circulation lequel doit être visé par la police tous les 3 mois sous peine de poursuite

8 avril 1971 Premier congrès fédérateur de l’OPRE ROMA tenu a Londres où fut adopté l’hymne international tzigane dont le titre Gelem Gelem veut dire allons allons et où a été adopté également le drapeau de nos communauté composé d’une bande horizontale bleu en haut représentant le ciel, une bande verte en bas représentant le sol et en son centre une roue ou chakra à 16 branches représentant les anciennes roulottes.

1982 Le chancelier allemand Helmut KHOL a reconnu officiellement la réalité du génocide tzigane mais à cette date la plupart des victimes susceptible de recevoir des réparations conformément à la loi allemande étaient déjà morte.

3 février 1993 Le décret n° 93-150, signé par le président de la République François Mitterrand, institue "une journée nationale commémorative des persécutions racistes et antisémites commises sous l'autorité de fait dite gouvernement de l'État français" (1940-1944)".

5 avril 1995 l’Allemagne élève une stèle à la mémoire de ces tziganes victimes de la barbarie hitlérienne.

Le 16 juillet 1995, dans un discours prononcé lors de cette commémoration, le président la République, Jacques Chirac, reconnaît que "la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'État français" et que "la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable". Il rappelle, en outre, que la rafle du Vélodrome d'Hiver fut "le point de départ d'un vaste mouvement de résistance (dans lequel s'engagèrent) de nombreuses familles françaises", des "Justes" qui sauvèrent de nombreux juifs

2000 La Loi n°2000-644 du 10 juillet 2000, reprend et modifie le décret de 1993 afin d’y insérer notamment Aux Justes de France. Cette commémoration légale devient ainsi l’occasion pour la Nation de témoigner sa reconnaissance à tous ceux qui ont recueilli, protégé ou défendu aux périls de leur vie et sans aucune contre partie une ou plusieurs personnes menacées de génocide.

2001 La Hongrie, pour sa part, commémore chaque année, le souvenir des Tziganes victimes de l'holocauste auxquels elle consacre un cours d'histoire dispensé à tous les adolescents.

Plusieurs monument ont été érigés en France à proximité du Vel’dhiv, à Gurs (Pyrénées atlantique), Maison d’Ysieu dans l’Ain, Rivesaltes (PO)

02 février 2006 Une stèle est érigée à SALIERS commune d’Arles (BdR) où avait été construit un camp pour les tziganes où 687 des nôtres ont été internés.

15 février 2007 Frédéric DUTOIT, député, a présenté à l’Assemblée Nationale une proposition de Loi tendant à la reconnaissance du génocide tzigane pendant la Seconde guerre mondiale qui porte le n° 3714

27 octobre 2007 L’association NOTRE ROUTE est reçu à l’Elysée, sur sa demande, concernant le génocide.

26 décembre 2007 Réception d’une lettre émanant de Monsieur Claude GUEANT, Secrétaire Général de l’Elysée, indiquant « que le faits exposés ne peuvent en aucun cas être contesté »

15 mai 2008 La même proposition a été présentée au Sénat sous le n° 337 par le sénateur Robert BRET


1er trimestre 2010 Madame le maire de Lille, alors que rien ne laissait le supposer, fait démanteler un camp illicite sur sa commune.

28 juillet 2010 En direct de Grenoble le Président de la république française annonce le démantèlement de 300 camps dits illicites alors que les occupants devraient bénéficier, en tant que citoyens européens, de la libre circulation des bien et des personnes (ne pas oublier que dans ces camps il y aussi des personnes françaises)

Le ministre de l’intérieur se met immédiatement au travail sans tenir compte de la présence de femmes et enfants en bas âge

Lors du dernier trimestre 2010 le maire de LYON prête main forte au pouvoir en place en démantelant le squat de Vaise.

Mi janvier 2011, démantèlement d’un squat place CAZEMAJOU dans le 15eme arrondissement de Marseille.

jeudi 3 mars 2011

Devoir de mémoire à transmettre aux générations à venir

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Beaucoup de membres de la population des gens du voyage ont péri dans les camps de la mort lors de la seconde guerre mondiale.

Ils sont morts sans trop savoir pourquoi, de ce fait certains sont persuadés d’avoir réussi la conspiration de l’oubli. Pourtant des hommes, femmes, enfants ne demandaient rien si ce n’était que de vivre avec leur us et coutumes.

Ils sont été mutilés, massacrés, les yeux exorbités par la peur mais pensant qu’un jour leurs enfants pourraient continuer à vivre.

Aujourd’hui toutes nos musiques (jazz-manouche, flamenco, musique tzigane) et notre histoire survolée par ceux qui tentent de faire croire à leur savoir et qui pensent ainsi peser encore un peu plus sur cette chape de plomb instaurée sur cette ignominie afin de nous faire admettre que la bête immonde n’avait jamais existé. Ils voudraient nous persuader que cette monstruosité (le racisme) n’avait jamais vécu et n’avait pas engendrée des monstres tel qu’Hitler et s’imaginent effacer tout cela recouvert par un vent de sable venu du désert. Mais ils sont tombés par dizaines et centaines de milliers : pour mémoire sur les 1 million 750 Rrom qui vivaient en Europe à cette époque, entre 500 000 et 750 000 ont péri dans ces camps de la mort.

Peut-on également oublier que nos fillettes et garçonnets, entre l’âge de 6 et 8 ans étaient stérilisés au même titre que les adultes. Ces stérilisations de masse sont de fait un crime empêchant de « naître gitans ». Ces pratiques tentaient l’extinction de notre race de façon à nous faire rentrer dans la nuit éternelle. La mort les a frappés sans leur demander leur âge à Ravensbrück, à Auschwitz, Majdanek, Mauthausen, Chelmno, etc .., ces camps où nos bourreaux nous surnommaient Unten Munchen (sous hommes).

Nous sommes de ce peuple qui vit sans sépulture et qui ne se plaint pas, mais qui ne baisse pas la tête sous l’injure et clamons très fort notre volonté de voir reconnu les massacres de nos populations organisés sous le gouvernement du maréchal Pétain en accord avec l’Allemagne hitlérienne.

En 1946 étaient libérés 10 000 derniers tziganes détenus dans des camps. Pourquoi ? Alors que l’armistice avait été signée en 1945, soit un an auparavant.

Nos grands-parents, nos parents nous ont légué une obligation de mémoire et nous le respectons. Que vaudrait ce respect si nous n’inculquions pas ce devoir de mémoire à nos enfants, petits-enfants etc…. Quand nos yeux se fermeront définitivement à eux de continuer à perpétrer ce terrible souvenir non par fierté mais pour veiller à ce que cela ne se reproduise plus jamais car tout homme, même seul, assassiné pour des idées est un génocide.

Il faut que nos jeunes générations puissent vivre en bonne intelligence avec tout le monde, respectant et respectés mais nous leurs disons « Ouvrez bien les yeux les enfants car la bataille n’est pas gagnée ».

Effectivement même dans les milieux politiques il y aura toujours des femmes ou des hommes de droite ou de gauche qui n’ont aucun respect pour leur prochain dès l’instant qu’ils ne seront pas dans leur critère.

Pourtant chers enfants lorsque nous nous coupons, de quelque origine soit-on, notre sang est de la même couleur : Rouge.

A tous nos descendants chéris, nos anciens du fond de leur charnier crient Justice.

Nous avons commencé le travail de reconnaissance c’est à vous nos jeunes de continuer. Il serait inadmissible que nous français depuis 1452 que le gouvernement français ne reconnaisse pas le génocide (Samudaripen) de ses propres enfants.

Cette forme de testament est celui que nous léguons à nos futures générations et ainsi de suite jusqu’à l’aboutissement de cette légitimité par tous moyens légaux.

L’association NOTRE ROUTE qui a eu l’initiative de ces écrits n’en est pas pour autant propriétaire exclusif. Nous ne sommes en aucun cas le berceau unique de la culture gitane. Effectivement il serait souhaitable que l’ensemble des associations Rrom les reprenne et les diffuse en masse.


La présidente de l’association NOTRE ROUTE
Mme Véronique LABBE dite Abuelita

mercredi 2 mars 2011

Discours de l'association NOTRE ROUTE le 24/02/2011

O Lungo Drom - Le long chemin-

Venus du Nord de l’Inde tout au long d’une migration très longue, ceux que l’on appelle aujourd’hui Rrom, sont présents dans toute l’Europe depuis au moins six (6) siècles, si ce n’est plus. Mais une constante est la notre depuis le début et que nous y sommes : méfiance, rejet et même, ce qui est plus grave PERSECUTIONS. Il n’y a, comme le dit si bien Alexandre ROMANES « pas beaucoup de gens qui se trouvent moins bien qu’un gitan ».

Nous sommes désignés sous diverses appellations selon l’époque et la provenance à laquelle on veut bien nous rattacher : Bohémiens, Egyptiens, Romanichels, Manouches, Gitans, Tziganes, Rrom. Cette pluralité d’appellation est déjà un signe de notre éparpillement et de notre diversité multi culturelle. Cette difficulté à nous identifier précisément n’a jamais été un obstacle pour nous désigner comme bouc émissaires responsables de la majorité des maux surgissant dans vos sociétés. La répression féroce exercée à notre encontre et toute aussi ancienne que variée allant de l’esclavage à l’extermination, en passant par toutes les sortes d’humiliation : incarcérations, bannissement, stérilisations eugéniques, l’arrachement des enfants à nos familles, l’assimilation forcée et nous en passons.

Quelques rappels de dates : en 1682, Louis XIV ordonne la condamnation aux galères de tous les hommes bohémiens sans procès et à perpétuité et ordonne également que leurs femmes voient leurs cranes rasés ainsi que la séparation d’avec leurs enfants, lesquels seront tous expédiés dans les hospices : que d’éclipses dans la grandeur du roi Soleil au cours de son règne.

Au siècle dit des lumière, les philosophes n’ont pas été d’avantage brillant sur la question des bohémiens, définis dans un article de l’ »Encyclopédie » comme une espèce déguisée, de manants et vagabonds sous des habits grossiers, mystificateurs et voleurs.

En 1802, plusieurs centaines de bohémiens au Pays Basque sont emprisonnés dans le but de déportation en Louisiane. Le projet ne voit pas le jour mais la mise à l’index continue. Des tentatives de sédentarisations forcées sont faites au XIXème siècle, qui toutes échouent. Autant essayer de sédentariser des caribous, des baleines etc.. Dans l’univers bourlingueur pourquoi ne bougerions-nous pas demandait « Alexandre ROMANES lors d’un entretien téléphonique.




Au XXème siècle la science vient au secours des politiques de répression des gens du voyage, appellation administrative de nos populations afin de nous différencier des autochtones L’eugénisme et le souci de « protection de la race » préparent le terrain à leur internement dans les camps de concentration dès 1940, puis à leur déportation massive vers les camps d’extermination à partir de 1942. Il est à noter que c’est au moins 750 000 voire UN MILLION selon certains, le nombre de Rrom d’Europe morts sous le nazisme.

Aujourd’hui, si la méthode n’est pas comparable la résultante a les mêmes effets pervers de relents racistes sans savoir si dans leur pays de naissance d’autres méthodes plus radicales ne s’opèreront pas.

L’angélisme à notre sujet n’est pas de mise pas plus que la victimisation, nous sommes et voulons rester un peuple à part, sans confusion avec le monde « Gadjes » (non gitans) sans pour autant le rejeter car notre volonté est de préserver nos us et coutumes ancestrales.

Nous n’avons pas de terre et n’en revendiquons pas car le fait d’avoir un pays impliquerait des frontières et nous perdrions à ce moment là notre entité Rrom épris de LIBERTE.

mardi 1 mars 2011

Oiseaux de passage

Ce texte du groupe ami ci-dessous est parlant

De Urs Karpatz (goupe tzigane)

Hier, ils étaient à Auschwitz (Birkenau)
C’était le rendez-vous de mes frères tziganes
En ce jour de novembre
Etaient au rendez-vous des milliers d’âmes tziganes.

Ils étaient comme des enfants
Ils étaient naïfs et confiants
Ils étaient comme des enfants
Leurs bourreaux l’ont écrit.

Ils ne savaient pas que ce campement là
Serait le dernier
Ils le comprirent enfin
Quand leurs frères un matin partirent en fumée.

Comme oiseaux de passage
Les martyrs là ont été oubliés.
Ils étaient des milliers
Mais toi, frère tzigane, tu ne te plains jamais ….

Il reste de grands arbres
Que nos pères ont planté.
Il reste de grands arbres : ce sont des peupliers

Nos pères s’en sont allés.
Sous l’archet de novembre
Ces arbres portent les plaintes des violons violés
Et les pluies de novembre
Roulent en grosses larmes sur les grands peupliers

Ils étaient comme des enfants
Ils n’avaient pas compris
Ils étaient naïfs et confiants
Leurs bourreaux l’ont écrit

Génocide tzigane 24 11 2011 France 3



Conférence de Presse du 24 Février 2011 lors du lancement du COMITE D'ACTION POUR LA RECONNAISSANCE DU GENOCIDE TZIGANE

Parlement européen Bureau d’information pour le Sud-est



vendredi 25 février 2011
Revue de presse du 25 février 2011
Les quotidiens la Marseillaise et la Provence annonce la création officielle à Marseille du "Comité d'action pour la reconnaissance du "samadapuren", le génocide tzigane. Ce comité d'action demande que la France reconnaisse ce génocide comme l'a fait la Hongrie. Le Parlement européen a rendu un hommage aux victimes le 2 février dernier, au cours duquel Josy Buzek, président du Parlement européen, a souligné qu'"un tiers des personnes détenues à Auschwitz était Rom mais la plupart des Européens l'ignorent".


ROMS
Les quotidiens la Marseillaise et la Provence annonce la création officielle à Marseille du "Comité d'action pour la reconnaissance du "samadapuren", le génocide tzigane. Ce comité d'action demande que la France reconnaisse ce génocide comme l'a fait la Hongrie. Le Parlement européen a rendu un hommage aux victimes le 2 février dernier, au cours duquel Josy Buzek, président du Parlement européen, a souligné qu'"un tiers des personnes détenues à Auschwitz était Rom mais la plupart des Européens l'ignorent".
"Roms: pour ne pas oublier le génocide" - La Provence 25.02.2011 p. 7 "Lumière sur l'holocauste tzigane" - La Marseillaise 25.02.2011 p. 8

http://sudest.europarl.fr/view/fr/presse/revue_presse/RP_25fev11.html;jsessionid=841CC3EB592E4112EEF1FAE29B41532F